En 2005, deux ingénieurs forestiers français mettent en place un modèle de développement durable basé sur l’agroforesterie permettant ainsi l’amélioration du niveau de vie des populations indigènes tout en préservant les ressources de la forêt amazonienne.
Lors de leur stage de fin d’études de « Gestion des Eco- Systèmes Agro-Sylvo-Pastoraux en Zones Tropicales auprès des populations autochtones, l’un auprès des shuars et l’autre auprès des kichwas ils arrivent au constat suivant :
« Si rien n’est entrepris, les forêts disparaitront »
Totalement intégrés dans la vie sociale, ils sont présents en permanence au sein des communautés locales.
Depuis 12 ans de présence près de 250 000 arbres ont été plantés et 500 familles directement impactées.
De nouveaux projets sont en cours de développement.